Les Rêves Qui S’enfuyaient
En regardant par la fenêtre du train, les yeux rêvait de la liberté pendant que leur propriétaire observait la campagne avec une manière vaincu. Elle les avait passé à toute vitesse bien que ses couleurs vivants et indistincts remplissent les yeux qui voulait qu’ils soient libres. Il semblait que la sonorité de la campagne rie au nez de la grisaille du métro qui emportaient les hommes d’affaires apathique chez eux après une autre journée monotone au bureau.
La propriétaire pensait de la vie et de la famille qui comptaient sur lui pour une mode de vie qui les permettra de prendre des vacances au moins que deux fois par ans. Il réfléchit souvent à sa rôle dans la famille mais malheureusement il n’en avait guère les réflexions rassurants. Pour des ans il avait été tourmenté par une question «Imagine que je meurs maintenant est-ce que je les manqueront - Moi ou la salaire?». Au fond de lui-même il reconnaissait que sa famille l'adorait inconditionnellement et que c’était son propre sentiment d’amertume qui l’a mené à mal penser de sa famille.
Le campagne devenait rapidement les banlieues d’une grande ville, la grisaille a revécu et un air d’anticipation inondé la voiture avec langueur. Le mouvement était presque jamais remarquable aux yeux et leur propriétaire; ensemble ils pensaient de la jeunesse. La propriétaire avait juré qu’il n’aurait jamais suivi les traces de son père, il aurait été libre et content puis finalement d'une manière ou d'une autre il serait devenu célébré. Alors qu’est-ce qui s’est passé à ces rêves naïfs? La même vieille histoire- la vie et les exigences de la société